L’atelier de Claude de Soria
En l’occasion des journées du Patrimoine, nous sommes partis à la découverte de l’atelier de Claude de Soria.
Sculptriste française née à Paris en 1926, Claude Rosine de Soria réalise des sculptures abstraites avec son matériau de prédilection : le ciment. En visitant son atelier, nous avons pu en découvrir plus sur ses débuts, ses défis et sa façon de travailler les matériaux.
Tout commence dans les années 70, quand elle commence à suivre des cours de dessins, puis découvre la sculpture à travers les cours d’Ossip Zadkin. Ses oeuvres s’inspirent de modèles de plus en plus abstraits, passant par des fleurs aux disques et lames.
Sa première sculpture fut la reproduction d’un buste de Picasso. Elle décrit le processus de création comme un amusement et un bonheur qu’elle n’avait jamais connus auparavant.
« Je suis ciment. »
C’est lorsqu’elle s’installe dans son atelier au coeur de Paris qu’elle va découvrir le ciment par accident, ou plutôt par « miracle », comme elle aime le décrire, grâce à un sac de ciment oublié par des ouvriers dans la cour de son atelier.
Claude de Soria se met alors à décliner cette matière à l’aide de différents supports, faisant ressortir tout un répertoire de formes extrêmement variées, qui ont été créées par d’heureux hasards.
La scluptriste procède par séries. Elle a débuté en produisant les Disques (1974) en ciment puis leurs empreintes sur du Rhodoïd, puis les Boules (1976-1977) composées de deux demi-sphères, les Fruits (1978) ou encore les Plis (1979).
Les séries les plus emblématiques de son travail sont les Tiges (1979), les Plis Plats (1981), les Lames (1984) ou encore les Ouvertures (1987).
L’atelier de l’artiste abrite aujourd’hui plus de 2200 pièces qui la plupart proposées sont proposées à la vente, ainsi qu’un fonds d’archives et une bibliothèque.
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L’atelier de Claude de Soria
En l’occasion des journées du Patrimoine, nous sommes partis à la découverte de l’atelier de Claude de Soria.
Sculptriste française née à Paris en 1926, Claude Rosine de Soria réalise des sculptures abstraites avec son matériau de prédilection : le ciment. En visitant son atelier, nous avons pu en découvrir plus sur ses débuts, ses défis et sa façon de travailler les matériaux.
Tout commence dans les années 70, quand elle commence à suivre des cours de dessins puis, découvre la sculpture à travers les cours d’Ossip Zadkin. Ses oeuvres s’inspirent de modèles de plus en plus abstraits, passant par des fleurs, aux disques et lames.
Sa première sculpture fut la reproduction d’un buste de Picasso. Elle décrit le processus de création comme un amusement et bonheur qu’elle n’avait jamais connu auparavant.
« Je suis ciment. »
C’est lorsqu’elle s’installe dans son atelier au coeur de Paris qu’elle va découvrir le ciment par accident, ou plutôt par « miracle », comme elle aime le décrire, à travers un sac de ciment oublié par des ouvriers dans la cour de son atelier.
Claude de Soria se met alors à décliner cette matière à l’aide de différents supports, faisant ressortir tout un répertoire de formes extrêmement variées, qui ont été créées par de heureux hasards.
La scluptriste procède par séries. Elle a débuté en produisant les Disques (1974) en ciment puis leurs empreintes sur du Rhodoïd, puis les Boules (1976-1977) composées de deux demi-sphères, les Fruits (1978) ou encore les Plis (1979).
Les séries les plus emblématiques de son travail vont être les Tiges (1979), les Plis Plats (1981), les Lames (1984) ou encore les Ouvertures (1987).
L’atelier de l’artiste abrite aujourd’hui plus de 2200 pièces qui la plupart proposées sont proposées à la vente, ainsi qu’un fonds d’archives et une bibliothèque.
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